Dans un communiqué, le CCME a indiqué que son Secrétaire général Abdellah Boussouf affirme que "la profanation du drapeau national est un acte criminel qui n’a aucun rapport avec la liberté d’expression".
Ce "comportement barbare nuit à des générations de Marocains et Marocaines, du nord comme du sud du Royaume, qui ont consenti d’immenses sacrifices pour l’indépendance du Maroc, l’unité de ses terres ainsi que pour son progrès et développement", a-t-il relevé.
Lire aussi : Diapo. Des séparatistes rifains brûlent et piétinent le drapeau national à Paris
Le Conseil a rappelé les actions que les différentes générations d’immigrants marocains ont déployées et déploient en faveur de la défense de la Mère-Patrie, ainsi que leur ferme attachement à ses sacralités et leur souci à élever leur progéniture selon l’identité plurielle, ouverte et tolérante du Royaume et à bien représenter la Mère-Patrie.
"Ce genre d’agissements provocateurs n'entamera en rien la cohésion nationale et la relation affective qui lie les Marocains du monde à leur Mère-Patrie, Roi et peuple, et qui n’ont eu de cesse de refléter" et exprimer à chaque occasion, conclut la même source.