Dans une déclaration au quotidien arabophone Al Akhbar du vendredi 16 janvier, Leila El Berrak a confié qu’elle vivait un choc avoir appris l’arrestation de son mari par le Service préfectoral de la police judiciaire (SPPJ) de Casablanca. «Je ne suis pas responsable des actes de mon mari poursuivi pour escroquerie. Je suis issue d’une famille respectable. Je me suis mariée conformément aux rites islamiques. Mon époux a bien divorcé de sa première femme et nos familles respectives ont assisté à notre fête de mariage», explique-t-elle.
A propos de l’arrestation de son mari pour escroquerie et usurpation de fonction d’un militaire, la chanteuse déclare : «Si les accusations portées contre lui sont vraies, il doit assumer pleinement la responsabilité des ses actes. Là, je ne suis pas responsable de ses agissements. Et je tiens à affirmer que je n’ai jamais été au courant de cette histoire. Sinon, je n’aurais jamais accepté sa demande en mariage». A une question sur les raisons qui l’ont amenée à se marier à un homme dont elle ignore tout, elle avance : «Je suis une femme naïve et j’étais élevée et éduquée selon les valeurs et les principes de la confiance. Je ne pouvais donc être au fait de ses secrets et me douter de son identité. Qui plus est, il ne parle pas de son travail ».
Dans le même registre, une source bien informée a révélé au journal que la première audience du procès du mari d’El Berrak a été fixée au 20 janvier, rappelant que le mis en cause a été déféré devant le procureur général pour escroquerie après qu’il ait promis à plusieurs de ses victimes des emplois dans les secteurs de la justice et de la police.




