"Le groupe Apple a accepté de payer une amende de 25 millions d'euros dans le cadre d'une transaction pénale", a indiqué dans un communiqué la Direction de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF).
L'autorité de la concurrence n'a pas reconnu l'"obsolescence programmée" pour laquelle une association de consommateurs avait porté plainte : Halte à l'obsolescence programmée (Hop) accusait Apple de ralentir volontairement ses anciens modèles de smartphones pour accélérer leur remplacement.
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Mais la DGCCRF a estimé qu'Apple s'était rendu coupable de "pratiques commerciales trompeuses par omission".
L'enquête a "montré que des détenteurs d'iPhone n'avaient pas été informés que les mises à jour du système d'exploitation iOS qu'ils installaient étaient susceptibles de conduire à un ralentissement du fonctionnement de leur appareil", précise le communiqué.
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Le 21 décembre 2017, le groupe américain, qui commercialise chaque année un nouveau modèle de son téléphone vedette, avait reconnu qu'il bridait volontairement les performances du téléphone après un certain temps dans le but "de prolonger la durée de vie" de celui-ci.
Une décision prise, selon lui, en raison de l'utilisation de batteries au lithium-ion qui ont davantage de difficultés à répondre à d'importantes sollicitations par l'utilisateur du téléphone lorsqu'elles vieillissent.