Le top 10 des plus belles plages marocaines selon Le Figaro

La plage Dalia, connue à Tétouan pour son sable doré.

Le quotidien français a établi un classement de ses dix plages préférées au Maroc, entre Méditerranée et Atlantique.

Le 07/07/2025 à 14h18

Pour un été sous le signe du farniente, du surf ou des balades au grand air, Le Figaro propose à ses lecteurs une sélection de dix plages incontournables sur les 3.700 kilomètres de littoral que compte le Maroc.

Avec l’avantage de ne compter que «peu de grandes stations», note Le Figaro, le royaume s’impose encore aujourd’hui comme un paradis pour les inconditionnels de la mer, à la recherche de petits paradis sauvages au bord de l’eau, ou d’endroits plus balisés mais tout aussi adaptés à des pratiques sportives, voire culturelles.

Sur la côte atlantique

Pour débuter cette sélection, direction la plage d’Essaouira, comparée à «la Saint-Malo du Maroc», qui s’impose comme un paradis de la glisse, idéale pour la pratique du kite-surf entre mai et septembre, avec des pointes en juillet-août.

Classée pavillon bleu, cette longue plage qui s’étend à perte de vue, aux allures parfois méditerranéennes, est idéale pour une séance de farniente au soleil avant de visiter la médina de la cité des Alizés.

Un peu plus au sud sur la côte atlantique, Agadir et sa «baie iconique», classée «parmi les plus belles baies du monde».

Un cadre idéal, jouissant de surcroit d’un climat privilégié, pour marcher le long d’une corniche de 7 kilomètres et se baigner dans une mer d’huile à température idéale. Et pourquoi pas pratiquer des sports nautiques?

Plus au nord, sur cette même côte, se trouve Oualidia, sa lagune et sa plage.

Le Figaro souligne la beauté de ce «site naturel unique» composé d’une longue lagune séparée de l’océan par un cordon de dunes. Un cadre idéal pour s’initier au surf mais aussi pour «une robinsonnade sur les bancs de sable doré piquetés de traces de pattes d’oiseaux» à travers la lagune.

À mi-chemin entre Rabat et Tanger, Le Figaro conseille également de faire escale à Moulay Bousselham, «une volière sur l’Atlantique» et surtout «l’un de ces sites sublimes dont la côte marocaine a le secret».

Si la plage est prisée des baigneurs, on y vient surtout pour les eaux paisibles de sa lagune, royaume de l’avifaune.

En remontant la côte atlantique, il est conseillé de découvrir Sidi M’Ghait, à deux pas de la médina vintage de Larache à 90 km au sud de Tanger.

Celle que l’on désigne comme «la plage d’Hermès», en référence au club de Polo fondé à proximité par l’un des héritiers de la prestigieuse maison française, affiche un tout autre genre de luxe, celui d’un environnement sauvage et préservé. On y vient pour jouir d’une plage à perte de vue, bordée de dunes, idéalement hors saison quand l’endroit n’attire pas les foules.

Cap vers le sud du Maroc, la plage de Porto Rico à Dakhla. Cet «éden du désert» est la promesse d’étendues de sable fin et d’eaux cristallines «qui doivent leur pureté à une source souterraine et une ceinture de dunes et de falaises», explique-t-on.

Située à l’entrée de la lagune, cette plage «est l’une des pépites de la péninsule de Dakhla», avec en prime, les traces d’une biodiversité protégée, notamment des dauphins que l’on peut apercevoir au loin.

Tout aussi belle, la plage de Legzira s’impose elle aussi sur la côte atlantique, notamment «au coucher de soleil (…) quand l’astre fait flamboyer ses falaises rougeoyantes».

Située à 3 heures d’Agadir et non loin de Sidi Ifni, cette plage est l’une des plus spectaculaires du Maroc, avec son arche naturelle se détachant de la falaise pour se jeter dans l’Océan.

Entre Taghazout et Imesouane, la plage de Tamri, célèbre pour les cultures de bananiers et de palmiers qui la jouxtent, prend des airs d’«oasis tropicale».

On s’y baigne dans les piscines d’eau de mer formées par les marées et on admire la grande dune blanche qui caractérise la plage. Un spot idéal pour le surf.

Sur la côte méditerranéenne

Poursuivons vers le nord, avec les eaux azurées de la Méditerranée et la plage Dalia, près de Tanger.

Véritable «carte postale», ponctuée de barques de pêcheurs, on y apprécie la transparence des eaux, atout considérable pour la plongée sous-marine que l’on peut pratiquer «toute l’année sur trois spots allant de 6 mètres à 40 mètres de profondeur».

Enfin sur la Riviera marocaine, la plage de Tamuda Bay s’étend sur un long cordon de sable doré de 35 km entre Fnideq et Martil.

On y admire la beauté des eaux turquoises, un cadre naturel splendide entre mer et montagnes, idéal pour nager, s’initier à la plongée sous-marine et pratiquer des sports nautiques.

Par La Rédaction
Le 07/07/2025 à 14h18