La British international school of Casablanca, officiellement accréditée École britannique au Maroc

Des élèves de la British international school of Casablanca.

Des élèves de la British international school of Casablanca. . DR

La British international school of Casablanca a officiellement été reconnue pour sa contribution dans la promotion du savoir pédagogique, et des cultures marocaine et britannique auprès de ses élèves et de sa communauté.

Le 12/08/2020 à 12h59

Après avoir obtenu l’accréditation BSO (British School Overseas) et le prix international du duc d'Edimbourg, la British international school of Casablanca est à présent officiellement reconnue par les gouvernements marocain et britannique.

L’ambassade du Royaume-Uni à Rabat, le ministère marocain des Affaires étrangères et de la coopération internationale et le ministère marocain de l’Éducation nationale ont ainsi formellement reconnu la British international school of Casablanca (BISC) en tant qu’"école britannique au Maroc" et ce, après une minutieuse étude de la candidature de cette institution scolaire. 

"Cet échelon vient renforcer encore plus le positionnement de l’Ecole: Excellence, Excellence et Excellence. Mrs. Clare Sarson et Mr. Michael Spencer, les Directeurs respectifs du Secondaire et du Primaire, les Key Stage Leaders avec tout le corps pédagogique s’attellent à leurs passions: maintenir le progrès scolaire continuellement et développer le sens analytique, créatif des élèves. Cette institution aux briques rouges porte fièrement les deux drapeaux [l'Union Jack et le drapeau du Royaume du Maroc, Ndlr], sur les donjons de ses tours uniques dans le paysage scolaire de notre pays", lit-on dans un communiqué de BISC.

La BISC est implantée à Casablanca depuis septembre 2017. Il s'agit de la première école dispensant le très strict Cambridge curriculum.

Trois années après le lancement de son activité, quel premier bilan ses équipes directionnelles et pédagogiques peuvent-elles faire?

Explications: "notre école est, comme précédemment mentionné, bâtie sur la qualité de l’éducation et le respect de l’ADN du système éducatif britannique. Notre bilan est fort appréciable à plusieurs égards. 

1. Nous avons été inspectés, par notre propre choix, par ISI (Independant School Inspectorate), l'organe le plus strict, qui a pour coutume de ne jamais laisser passer le moindre détail quant à la qualité et la conformité des standards pédagogiques. Nous avons honorablement réussi et en seulement trois ans, nous sommes accrédités école BSO (British School Overseas).

2. Nous sommes la seule école au Maroc à mener les élèves au "A level", (...) nous sommes fiers de notre promotion d’élèves, qui aujourd’hui, se préparent avec nos enseignants à entrer à l'université d'Oxford.

3. Nous sommes aussi la seule école au Maroc à être accrédité par le parrainage du duc d'Edimbourg. Il s'agit de l’accréditation la plus prestigieuse du Royaume-Uni [le duc d'Edimburgh est le prince consort, époux de la Reine d'Angleterre, Ndlr]. 

4. Nous avons accompagné des élèves afin qu'ils brillent, et se dépassent.

Tous ces accomplissements sont le résultat d’un travail acharné de nos enseignants, de notre administration et d’élèves extraordinaires. Nous sommes contents de contribuer, humblement, de cette manière, à l’avenir de notre pays".

Qu'apporte la British International School of Casablanca à un élève?

Pour ses initiateurs, "BISC a pour particularité de combiner rigueur académique, résilience et valorisation des autres disciplines non académiques. Un élève brillant en art, en musique, se verra valorisé dans sa passion. Les mathématiques, les sciences, la littérature sont enseignés différemment, à l’intérieur de la classe comme à l’extérieur. L’élève est très souvent amené à apprendre sans la frustration de l’obligation".

"Nous sommes sur la voie des chemins pavés par les précédents élèves, les Maîtres de Cambridge: celle de plus de 118 prix Nobels et 11 médaillés Fields; un jour, un de nos élèves sera sur ces listes", explique à la fois sobrement et fièrement la BISC.

Par Khalil Ibrahimi
Le 12/08/2020 à 12h59