C'est dans le cadre d'un partenariat public-privé que Driss Guerraoui, président du Conseil de la concurrence, a animé hier, mardi 18 février 2020 dans la capitale, aux côtés de différents responsables, fonctionnaires de l'Etat ou responsables du secteur privé, cet atelier de travail sur la préparation et la conception de ce baromètre national de la concurrence.
La concrétisation de cet outil s'inscrit dans le cadre de la feuille de route qui avait été donnée par le souverain au Conseil national de la concurrence, lors de la réactivation de cette institution.
Ce baromètre constituera "une première du genre sur le plan international", a souligné le président du Conseil de la concurrence.
Selon Driss Guerraoui, «il s'agit, pour cet atelier, de mobiliser l'expertise nationale pour construire un baromètre national de la concurrence, qui est porté par un référentiel d'indicateurs de mesure de la concurrence {basé sur 17 points, Ndlr}, afin de suivre l'état et l'évolution de la concurrence".
A terme, ce baromètre permettra d'identifier à la fois "les bonnes pratiques" de l'offre et de la demande de produits ou de services, ainsi que des pratiques "anti-concurrentielles" qui pourraient exister.