Boris Tolédano-Macarpa
Il a fait dans le green business bien avant l’heure. L’entreprise qu’il a fondé, Macarpa, a débuté ses activités en récupérant du papier usager pour le vendre aux fabricants de carton. Président de la communauté juive au Maroc, il a rendu l’âme mercredi 10 août à Casablanca, à l’âge de 97 ans, suite à un malaise.
Bouchaïb Benhamida-FNBTP
Avec lui, la Fédération nationale du bâtiment et des travaux publics (FNBTP), a perdu de son aura et de son poids. Bouchaïb Benhamida est mort dans la nuit du 21 juin des suites d’une maladie. Il présidait la FNBTP depuis 1994 jusqu’à sa mort. Il a été le négociateur en chef du contrat-programme entre l’Etat et les opérateurs du bâtiment et de la construction.
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Miloud Chaabi-Ynna Holding
L’haj Miloud avait déjà quitté la scène des mois avant son décès. Mis à l’écart par sa famille, il décède le 16 avril à Hambourg en Allemagne, à l’âge de 86 ans. Il était l’un des derniers self made man de sa génération. Son empire économique très diversifié intègre la promotion immobilière, la pétro-chimie, l'emballage et le conditionnement. Avec son franc-parler, il faisait le bonheur des médias. Sa mort a permis une succession rarissime au Maroc: c’est sa femme Fatima qui a repris les commandes du groupe Ynna Holding.
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Brahim Zniber-Diana Holding
Son domaine viticole est passé de 700 à 9.000 hectares aujourd’hui, porté par Diana Holding. Désigné par les médias comme «le seigneur des tonneaux», il a fait de la viticulture son business avec une marque phare «Les celliers de Meknès». Lorsqu’il meurt le 30 septembre dernier, il s’était déjà éclipsé de la scène et avait céder les commandes à sa femme, Rita. A 96 ans, il a été longtemps le patriarche d’une grande tribu.
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Omar Slaoui- SMADIA
Décédé à l’aube de ses 60 ans, le 12 mai dernier, Omar Slaoui, n’était pas uniquement le neveu de Driss Slaoui, conseiller de Hassan II, mais également l’un des experts ayant constitué le groupe de réflexion, le G14. Il était un spécialiste de l’eau, de l’irrigation et du recyclage des eaux usées. Il a géré le groupe industriel familial. Tous ceux qui l’ont cotoyé témoignent de sa discrétion, de sa profonde humilité et de sa fibre culturelle.
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Jean Puech-TIMAR
Le 16 décembre dernier, le fondateur et PDG de l’entreprise Timar, Jean Puech est décédé. La société cotée sur la place casablancaise depuis 2008 a été longtemps un fleuron de secteur de la logistique. Mais à sa mort, il laisse toute de même un établissement en pleine restructuration, qui désormais se diversifie vers le continent africain. La relève est assurée à travers Olivier Puech, son fils, qui était jusque là, diercteur général de l’entreprise.
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