La Fondation CDG rend hommage à Hosseïn Tallal, «le narrateur de l’indicible»: à Rabat, une exposition à titre posthume

Deux des toiles de feu Hussein Tallal (1942 - 2022) prêtées à la galerie d'art Espace Expression de la Fondation CDG, à Rabat. L'exposition à titre posthume de ses œuvres y a cours jusqu'au 14 mars 2023. . Khalil Essalak / Le360 (capture image vidéo)

Le 28/11/2022 à 10h10

VidéoUne cinquantaine d'œuvres de feu Hosseïn Tallal, le «narrateur de l’indicible», sont actuellement exposées à la galerie de la Fondation CDG, à Rabat. Depuis le 24 novembre, et jusqu'au 14 mars 2023, ces toiles, parfois prêtées, rendent hommage au talent d'un artiste peintre bien connu pour sa bonhomie, décédé le 19 février 2022, à l’âge de 80 ans.

L'exposition à la galerie Espace Expressions de la Fondation CDG, à Rabat, qui a cours jusqu'au 14 mars 2023, donne à voir une cinquantaine de d'œuvres de l'artiste peintre, disparu le 19 février 2022.

Né en 1942 à Chtouka, dans la province d'El Jadida, feu Hosseïn Tallal, considéré comme ayant été «l'un des symboles de l'art marocain contemporain», est surtout connu pour avoir été le fils de l’une des figures de proue de l’art contemporain marocain, feue Chaïbia Talal.

Cette exposition inédite a été inaugurée le 23 novembre dernier par Dina Naciri, la directrice générale de la Fondation de la CDG, en présence de Aawatif Hayar, la ministre de la Solidarité, de l’Insertion sociale et de la Famille, ainsi que de nombreuses personnalités du monde des arts.

Dans un catalogue diffusé à cette occasion, Dina Naciri explique que «l’exposition qu’accueille aujourd’hui la galerie d’art "Espace expressions CDG" avec le concours de prêteurs, et du commissaire de l'exposition, Farid Ghazaoui, tentera de révéler la part du non-dit chez Hosseïn Tallal, afin de percevoir cette part d’indicible dans ses récits, car l’artiste n’a presque jamais révélé les idées marquantes derrières sa peinture». 

Par Mohamed Chakir Alaoui et Khalil Essalak
Le 28/11/2022 à 10h10