On connaît désormais les films qui seront en compétition au Festival national du film de Tanger 2023, prévu du 6 au 14 octobre prochain. En tout, 45 films sont en lice pour remporter l’un des prix de cette grand-messe du cinéma marocain, répartis en 15 longs-métrages de fiction, 15 courts-métrages de fiction et documentaires et 15 longs-métrages documentaires.
Selon un communiqué du Centre cinématographique marocain, la sélection officielle des trois compétitions a été effectuée par trois commissions distinctes composées de professionnels du cinéma marocain. Des pointures du calibre de Hakim Belabbès, Mohammed Mouftakir, Layla Triki, Fadoua Maroub, pour ne citer que ceux-là.
Dans la liste des longs-métrages de fiction, on retrouve «Abdelinho» de Hicham Ayouch, «Al di là» de Othman Naciri, «Coup de tampon» de Rachid El Ouali, «Hamida Ejayeh» de Mostafa Derkaoui, «Jalaldine» de Hassan Benjelloun, «Jours d’été» de Faouzi Bensaidi, «Le bleu du caftan» de Maryam Touzani, «Le verre de l’amitié» de Naoufal Beraoui, «Les damnés ne pleurent pas» de Fyzal Boulifa, «L’esclave» d’Abdelilah El Jaouhary, «Mon père n’est pas mort» d’Adil El Fadili, «Oasis des eaux gelées» de Mohamed Raouf Sebbahi, «Queens» de Yasmine Benkiran, «Sound of Berberia» de Tarik El Idrissi et «Un été à Boujad» d’Omar Mouldouira.
Côté courts-métrages de fiction et documentaires: «Sur la tombe de mon père» de Jawahine Zentar, «Sahara mon amour» de Latefa Ahrrare, «Débris» d’Aiman Benslimane, «Le chant du péché» de Khalid Maadour, «No key» de Walid Messanoui, «La mère du clown» de Manal Ghoua, «Madame Pipi» de Fouad Souiba, «Seminal Animals» de Karim Souissi, «The last wave» de Mustapha Fermati, «Phone breaker» de Hamza Atifi, «L’ancienne maison» d’Achraf El Moutaoukil, «Amira» de Rachida Saadi, «Saouls» de Yassine El Moujahid, «Hurry up» de Karim Tajouaout et «L’ombre de mon père» de Sarra Rkha.
Quant aux longs-métrages documentaires, il s’agit de: «Bayt Al Hejba» de Jamila Annab, «Broken dreamland» de Khalid Laboudi et Hannu-Pekka Vitikainen, «Défi de femmes» de Loubna Elyounssi, «Femmes militantes en marge» d’Azlarabe Alaoui, «Fragments from heaven» d’Adnane Baraka, «Gravures rupestres Baiba» de Ghizlane Assif, «L’faro» de Fatine Khalkhal, «La dernière mine» de Fatima Aglaz, «Le Maroc et les mouvements de libération en Afrique» de Hassan El Bouharrouti, «Les gardiens de la mémoire» de Said Belli, «Massira» d’Asmae El Moudir, «Memoria de la paz» d’Ahmed Zergane et Younes Bouhmala, «Miroirs brisés» d’Othmane Saadouni, «Tagzzayt» de Mohammed Zeghou et «The Journey» de Said Zribiaa.