Tout est bien qui finit bien. Fin du conflit entre des responsables de l’hôpital Moulay Youssef de Casablanca et le réalisateur Driss Roukhe. La Fédération nationale de la santé de la région Casablanca-Settat affiliée à l’UMT annonce dans un communiqué qu’une audience de réconciliation a eu lieu hier lundi 19 février.
«Nous sommes heureux que la réconciliation, demandée par les deux partis, ait finalement eu lieu et nous réaffirmons notre soutien à l’art et aux artistes et notre volonté sincère de leur apporter notre support dans l’avenir», précise le communiqué.
Tout a commencé lorsque Driss Roukhe a déclaré avoir été victime d’agression de la part d’une femme médecin durant le tournage de la mini-série «la Une» à l’hôpital Moulay Youssef.
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«Je disposais d’une autorisation en bonne et due forme, délivrée par le ministère de la Santé. Nous avions choisi un couloir vide pour ne pas déranger les médecins et les malades. Mais nous avons été surpris par les protestations déplacées d’une femme se prétendant médecin qui voulait nous empêcher de poursuivre notre travail», avait affirmé le réalisateur à le360 le lendemain des faits.
Le 15 février, le bureau régional de la Fédération nationale de la santé à l’hôpital Moulay Youssef de Casablanca avait diffusé, on s'en souvient, un communiqué dans lequel il soutenait une tout autre version. Il protestait vigoureusement contre l’agression du médecin Fatima Gharrass par le réalisateur.
Depuis, de l'eau a coulé sous les ponts et la page est désormais tournée.
