Quiconque n’a pas compris le lien qui unit le peuple marocain à son Roi n’a rien compris au Maroc, et n’y comprendra jamais rien!
Ce ne sont pas les éructations de la junte algérienne –dont les dentiers ne peuvent même plus mordre… Et, oui, ce ne sont ni ces généraux, aussi vieux que Mathusalem, qui sont tous édentés (sans vouloir offenser les personnes âgées), ni le cirque de rue déployé par le président tunisien, hissant le fanion factice d’une entité tout aussi factice dans les rues de cette belle ville de Tunis, qui réussiront à éroder des siècles d’osmose!
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Ayant atteint le fond du caniveau, les «caporaux» algériens n’ont rien trouvé de mieux que de publier une vidéo qu’ils voulaient sacrilège sur les réseaux sociaux, par laquelle ils voulaient atteindre l’image de notre Souverain!
Ils en sont pour leurs frais, cette vidéo a fait rire toute la population marocaine par son manque absolue de crédibilité et n’a eu en fait pour effet que nous souder encore plus à notre Souverain.
Mais que croyaient-ils donc?
Que les Marocain(e)s allaient tomber pieds joints dans ce piège grossier? J’imagine très bien comment a dû naître cette idée d’une bassesse inouïe dans l’esprit des généraux algériens, sûrement pour tenter de faire oublier l’état de déliquescence dans lequel ils ont plongé leur pays, où la jeunesse algérienne n’en peut plus de voir son avenir pillé, comme est pillée la rente pétrolière.
Cet épisode algérien passé, c’est au tour du président tunisien de prendre le relais: pauvres jeunesses algérienne et tunisienne…
Kaïs Saïed n’a rien trouvé de mieux que de recevoir, avec les honneurs officiels, le chef du Polisario, Brahim Ghali!
Que voulait-il prouver en recevant comme un chef d’Etat un vulgaire chef de milice? Que la Tunisie, qui vaut bien mieux que cela, se trouvait sous tutorat algérien?
Eh bien c’est réussi, nous savons clairement dorénavant où le président tunisien va prendre ses ordres!
Si Kaïs Saïed espérait porter un coup à la politique menée par notre pays et atteindre la stratégie impulsée par notre Roi, il s’est bel et bien planté: c’est le peuple marocain tout entier qui lui a adressé une gifle cinglante.
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Non seulement la diplomatie, les partis politiques, les syndicats se sont insurgés contre cet acte, mais la société civile, le mouvement associatif, la jeunesse, les citoyens dans toutes leurs composantes l’ont renvoyé à son œuvre de destruction de la démocratie tunisienne.
Généraux algériens, président tunisien, d’une seule voix nous vous disons: DAKHLO SOUK RASSKOUM, MOROCCO BEZAF ALIKOUM!*
*(Mêlez-vous de vos oignons, vous n’atteignez pas le Maroc à la cheville! Ndlr.)
