Lundi 30 septembre, le ministre algérien des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, a réagi à la claque retentissante reçue par son pays, deux jours plus tôt, du haut de la tribune de la 79ème session de l’Assemblée générale de l’ONU. Le chef de la délégation malienne a saisi cette session onusienne pour se plaindre, devant la communauté internationale, des ingérences flagrantes de l’Algérie, qui sert le «gîte et le couvert aux terroristes» pour déstabiliser le Mali, où elle se comporte comme s’il s’agissait d’une «wilaya algérienne».