J’ai connu Houssein Miloudi dans les années soixante-dix chez lui, dans son atelier, sa maison dans un quartier modeste d’Essaouira. Ce fut mon ami Edmond Amran El Maleh qui avait tenu à me le faire connaître, me disant, «entre ce que peint Houssein et ta poésie, il y a une belle fraternité».