La nomination par Donald Trump de Marco Rubio à la tête de la diplomatie américaine a retenti comme un coup de tonnerre pour la junte militaire d’Alger. Pris de panique, le général Chengriha a convoqué son état-major et s’est dit prêt à faire volte-face dans le dossier du Sahara, pour tenter de gagner la sympathie du nouveau secrétaire d’État US, considéré comme la bête noire du régime algérien. «Il est temps de sonner la fin de la récréation et de reconnaitre à notre tour la marocanité du Sahara», a-t-il lancé devant ses acolytes, mettant ainsi fin à un entêtement qui aura duré environ un demi-siècle.