Tous les articles correspondant à #Djihadistes

Pour le patron de la DGSE française, les services marocains sont «des partenaires très efficaces, essentiels en matière de lutte antiterroriste»
Alors que la France célèbre le triste anniversaire des attentats du 13 novembre qui ont fait 132 morts en 2015 à travers la capitale, Nicolas Lerner, patron de la DGSE, est revenu, dans un entretien accordé au journal Le Figaro, sur l’importance du rôle joué par les services marocains dans la lutte antiterroriste en France.
Parution. «Prisonnier du désert. 711 jours aux mains d’Al-Qaïda», ou la nuit sahélienne d’Olivier Dubois
Enlevé en 2021 à Gao, au Mali, par un groupe affilié à Al-Qaïda, Olivier Dubois a passé près de deux ans entre chaînes, sable et silence dans le Sahara. Son récit «Prisonnier du désert» explore l’envers humain et idéologique du djihad sahélien, où la religion se confond avec la survie, et l’otage devient l’un des rouages d’un marché mondialisé de la rançon. Une plongée sans filtre dans l’univers clos des geôliers d’Allah.
Charte pour la paix et la réconciliation au Mali: les propositions des forces vives à la commission de rédaction
Les membres de la Commission de rédaction de la charte pour la paix et la réconciliation nationale ont rencontré les forces vives de la nation à Bamako pour recueillir les contributions de toutes les couches de la société sur l’avant-projet de Charte.
Groupe terroriste arrêté à Had Soualem: «une cellule familiale est plus dangereuse car plus difficile à surveiller», estime l’expert Ihsane Hafidi
Docteur en études de sécurité et gestion des risques, Ihsane Hafidi souligne pour Le360 le haut niveau de professionnalisme dont ont fait preuve la Direction de la surveillance du territoire et le Bureau central d’investigations judiciaires dans le démantèlement du groupe terroriste à Had Soualem dans la région de Berrechid. Cette cellule était composée de quatre membres, dont trois frères.
Grâce à des informations de la DGST, un terroriste arrêté à Barcelone
Grâce à l’appui précieux de la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST) marocaine, la Guardia Civil espagnole a réussi à arrêter, dimanche dernier à Barcelone, un djihadiste présumé décrit comme «fortement radicalisé». Ce dernier s’entraînait à fabriquer des poisons à base de produits chimiques qu’il projetait d’utiliser comme moyen d’attaque. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Assabah.
En Syrie, le Premier ministre chargé de la transition promet la stabilité
Le Premier ministre chargé de la transition en Syrie, Mohammad al-Bachir, aussitôt nommé, a promis calme et stabilité mardi aux Syriens, deux jours après la chute du pouvoir de Bachar al-Assad lors d’une offensive fulgurante d’une coalition de rebelles.
Extrême-Nord du Cameroun: au plus près des populations qui ne fuient plus (ou presque) Boko Haram
Longtemps secouée par les exactions de la secte terroriste Boko Haram, la région de l’Extrême-Nord retrouve progressivement sa quiétude. À quelques rares exceptions, la circulation des personnes et de leurs biens est désormais sans risque majeur dans toutes les zones frontalières du Nigéria et du Tchad. Le360 Afrique y était. Reportage.
Mali: les jihadistes revendiquent une attaque inédite depuis des années à Bamako
Les jihadistes affiliés à Al-Qaïda ont revendiqué une attaque audacieuse et inédite depuis des années mardi dans la capitale malienne Bamako, où ils ont été jusqu’à prendre temporairement le contrôle d’une partie de l’aéroport international.
Mali: les deux raisons de l’interdiction des terminaux internet Starlink d’Elon Musk
Les autorités maliennes vont mettre fin à la commercialisation des terminaux d’internet haut débit Starlink du groupe SpaceX de l’homme le plus riche du monde, Elon Musk. Cette décision est justifiée par le gouvernement malien par deux raisons fondamentales.
Les civils et l’effort de guerre: les réquisitions ne font pas l’unanimité dans les rangs des Burkinabè
Médecins, journalistes, militants associatifs... sont réquisitionnés depuis avril 2023, parfois contre leur gré, et envoyés au front rejoindre les forces armées qui luttent contre le terrorisme. Cet enrôlement de force n’est pas du goût de certains Burkinabè alors que d’autres y voient une nécessité pour la sécurité du pays.