Tous les articles correspondant à #Alger

Tebboune ose tout… et c’est même à cela que l’on reconnaît les présidents faillis
Or, le président algérien devrait tout au contraire clamer sa reconnaissance éternelle à la France coloniale sans laquelle, aujourd’hui, son pays serait peut-être encore une wilaya turque. En effet, quand, en 1830, la France chassa les Ottomans, la «nation algérienne» était un «non-concept». Cent trente ans plus tard, au moment de l’indépendance de juillet 1962, tout ce qui existait en Algérie avait été construit par la France et à partir du néant.
Le dernier chant de cygne d’Alger
Ce refus d’admettre la réalité peut fonctionner comme opération de communication passagère; il ne peut ni la changer ni la transformer. D’où cette impression, dans les réactions algériennes, d’un chant du cygne: un ultime souffle, un dernier râle avant de rendre l’âme. Car, au bout du compte, tôt ou tard, Alger devra s’adapter à la nouvelle réalité internationale et accepter d’endosser son rôle de partie prenante dans ce conflit.
L’œil de Carlos. Ultime commandement: avec Israël, tu normaliseras
L’œil de Gueddar. Le régime d’Alger sur Gaza: «Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais!»
L’écrivain Boualem Sansal libre: la pitoyable capitulation du régime d’Alger
Après un an d’acharnement, d’humiliation et de mensonges, le régime d’Alger finit par libérer le grand écrivain Boualem Sansal. Ainsi en a décidé la présidence algérienne ce mercredi 12 novembre. Non pas par grandeur, ni par justice, mais par nécessité, contrainte et calcul. Tout ça pour ça.
Le régime d’Alger acculé à choisir
Alger se trouve aujourd’hui sous une pression forte et inédite. Le régime est sommé de choisir entre deux options: épouser les contours de la nouvelle donne politique internationale sur le Sahara et inscrire son action dans sa mise en œuvre, ou bien poursuivre une politique de la terre brûlée et de la fuite en avant. Dans les deux cas, la facture politique sera inévitable.
Sahara: importance et poids de l’inscription de la «souveraineté marocaine» dans la résolution 2797 de l’ONU
La 2797 opère un tri décisif: le préambule ancre la souveraineté marocaine comme boussole, le reste suit. Mandats, rapports, éléments de langage convergent, tandis qu’Alger s’efforce d’en réduire la portée. Le centre de gravité des futures discussions se déplace durablement vers un cadre reconnu au Conseil. Politiquement, le récit algérien s’effrite: l’argument du «ce n’est qu’un préambule» ne résiste ni au droit onusien ni aux usages diplomatiques. Décryptage.
L’œil de Gueddar. Accord de 1968 ou quand le régime d’Alger perd ses rentes en France
Sahara: le message subliminal de Massad Boulos à l’adresse d’Alger
Comment décrypter l’intervention de Massad Boulos sur Sky News Arabia, centrée sur deux thèmes en apparence distincts: la résolution du différend du Sahara et le chaos du Soudan? Derrière la diplomatie feutrée se dessinent un avertissement calibré et un message subliminal adressé à Alger. Le proche conseiller de Donald Trump trace ainsi les contours de deux scénarios ultimes: une paix ordonnée selon la feuille de route maroco-américaine, ou une implosion à la soudanaise d’un régime algérien prisonnier de ses dogmes.
Station terminus pour les séparatistes d’Alger
Parmi les facteurs qui donnent à la stratégie algérienne des airs de «terminus» ou de «game over» figurent les leviers arabes et africains. Dans le monde arabe, le régime d’Alger est désormais jugé infréquentable; en Afrique, il traîne l’image de parrain du terrorisme et de vecteur d’instabilité. Pour de nombreuses capitales, le soutien à un séparatisme armé et violent constitue une tare majeure, politiquement et sécuritairement rédhibitoire.