«Je suis heureuse de donner le coup d’envoi, à Rabat, à cette grande cérémonie dédiée à la paix et à la tolérance entre les religions musulmanes musulmane et juive», a déclaré Alona Fisher, cheffe par intérim du bureau de liaison d’Israël au Maroc.
Cette déclaration est sa première intervention publique qu’elle prononce devant un nombreux auditoire depuis que la diplomate dirige par intérim le bureau de liaison à Rabat.
Devant une nombreuse assistance parmi laquelle figure, notamment, l’archevêque de Rabat, le Cardinal Cristóbal López Romero, la diplomate a longuement évoqué l’importance place de la communauté juive marocaine en Israël, estimée à un million de personnes, en saluant les efforts que joue le Maroc dans le monde pour la consolidation de la paix et de la concorde. Cette soirée a été organisée conjointement par l’Association Maroc Coexistence que dirige Fayçal Marjani et le groupe israélien culturel Sharaka.
Cet évènement a été marqué par une conférence débat suivi d’une animation musicale durant laquelle Suzanne Harroch, l’icône de la chanson judéo marocain, a conquis le cœur des participants à cette soirée.
Le directeur des Archives du Maroc, Jamaa Baida a livré un témoignage poignant sur l’engagement résolu du Maroc en tant que vecteur de paix et de tolérance. «Le Maroc est pays modèle en matière de coexistence pacifique des trois religions monothéistes», a-t-il affirmé dans une déclaration à Le360.
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Plusieurs témoignages, dont ceux de l’archevêque de Rabat et du chargé de la communication à l’ambassade des Etats-Unis, Jerome Sherman, ont abondé dans le même sens.
Jerome Sherman, tout comme la cheffe par intérim du bureau de liaison israélien, se sont arrêté sur le deuxième anniversaire de la conclusion des accords d’Abraham en vertu desquels le Maroc, les Etats-Unis et Israël ont décidé de renforcer leur coopération dans tous les domaines.
A travers de l’accord d’Abraham, les Etats-Unis avaient a reconnu la marocanité du Sahara en exprimant leur soutien à l’intégrité territoriale du Maroc.
