GenZ212. Violence, sabotage, incendie criminel: les peines que risquent les fauteurs de trouble

Il s’agit de crimes sanctionnés par le Code pénal de lourdes peines de prison allant de 10 à 20 ans, pouvant atteindre parfois 30 ans et, dans certains cas aggravés, la réclusion à perpétuité, explique Ahmed Ouali Alami, du Ministère public.

Le 02/10/2025 à 12h34

Ahmed Ouali Alami, président du pôle de l’action publique et du suivi de l’exécution de la politique pénale à la présidence du Ministère public, a affirmé que les actes de sabotage, d’incendie criminel et de violence sont des crimes qui n’ont aucun rapport avec la liberté d’expression, et qu’ils sont sanctionnés par le Code pénal de lourdes peines de prison.

Dans une déclaration à l’Agence Maghreb Arabe Presse (MAP), Ahmed Ouali Alami a souligné que «les actes de sabotage, d’incendie criminel et de violence ayant visé des biens publics et privés et causé des dommages corporels à des personnes à la suite de sit-in non autorisés n’ont absolument aucun lien avec la liberté d’expression. Il s’agit de crimes sanctionnés par le Code pénal de lourdes peines de prison allant de 10 à 20 ans, pouvant atteindre parfois 30 ans et, dans certains cas aggravés, la réclusion à perpétuité».

Le responsable a insisté sur le fait que ces événements portent gravement atteinte à la sécurité et à l’intégrité des citoyens ainsi qu’à leurs biens, et que la loi doit être appliquée avec la plus grande rigueur afin de protéger leur sécurité et leur quiétude.

Par Le360 (avec MAP)
Le 02/10/2025 à 12h34