L'affaire a rebondi le 29 juillet 2016 lorsque la victime s'était immolée délibérément par le feu, avant de perdre la vie des suites de brûlures de troisième degré, précise la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) dans un communiqué.
Les investigations menées par les services de sécurité ont révélé que la défunte avait été victime, de son vivant, de chantage de la part des suspects qui l'avaient menacée de diffuser une vidéo attestant de son viol, ajoute le communiqué.
Les mis en cause ont été placés en garde à vue pour les besoins de l'enquête menée sous la supervision du parquet général compétent, tandis que les recherches et investigations se poursuivent pour faire toute la lumière sur cette affaire.