La session normale de l’examen national unifié du baccalauréat au titre de la session de 2025 démarre ce jeudi 29 et se poursuivra jusqu’au samedi 31 mai, dans les 1.995 centres mis en place à cet effet au niveau des 12 Académies Régionales de l’Éducation et de la Formation (AREF).
«Quelque 495.000 candidats, dont 22% de candidats libres et 52 % de filles, passeront les épreuves de cette session normale dans 29.998 salles, supervisées par 1.995 superviseurs et surveillées par 50.600 enseignants à l’échelle nationale», rapporte le quotidien Assabah dans son édition du jeudi 29 mai. Et de préciser que «le circuit de la correction sera assuré par 43.000 enseignants répartis sur 310 centres de correction». Autant dire que les autorités compétentes ont mis en place toutes les dispositions nécessaires pour assurer le bon déroulement de cette échéance nationale.
En dépit de quelques changements, les épreuves du baccalauréat se dérouleront en 2025 en maintenant la formule de la numérisation de l’attestation du baccalauréat et la modernisation des modes de gestion des examens nationaux. À cet égard, rappelle le quotidien, le système intégré de transport sécurisé des sujets d’examen du baccalauréat, mis au point en 2024, a été maintenu et géré afin de garantir la sécurité totale des sujets.
À l’instar des précédentes sessions, fait remarquer le quotidien, «le phénomène de fraude aux examens scolaires revient chaque année sur le devant de la scène éducative, préoccupant le ministère de l’Éducation nationale et les autres intervenants dans le circuit». À ce propos, indique Assabah, «des efforts ont été déployés en amont pour assurer la sécurité de tout le circuit, avec des mesures organisationnelles, des campagnes de sensibilisation et des initiatives pédagogiques de nature à contrer le phénomène».







