«Le PJD a payé pour sa mauvaise gestion de la crise sanitaire», estime ce jeune de Rabat rencontré à un jet de pierre du Parlement, institution qui va bientôt accueillir de nouveaux locataires suite aux élections du 8 septembre 2021. Pour une autre habitante de la capitale, le parti islamiste a payé pour les deux mandats à la tête du gouvernement avec un bilan qui n’a rien de défendable.
Un jeune homme pousse l’analyse encore plus loin en s’attaquant au recours par le PJD au discours religieux au lieu de s’atteler aux vrais problèmes des Marocains.
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Un gouvernement dirigé par le RNI? Les habitants de la capitale, auxquels nous avons parlé, nourrissent bien des espoirs et attendent beaucoup du prochain Exécutif. Et à chaque fois reviennent des louanges à l’endroit du chef de file de ce parti, Aziz Akhannouch.