Hubert Seillan a suivi les péripéties du procès. "J'étais un observateur du procès, je voulais laisser des traces en publiant un livre. J'ai vu beaucoup d'injustice dans ce procès notamment dans le traitement qu'on a fait des victimes. On ne leur pas accordé le respect nécessaire", dira ce grand avocat à le360.
Pour rappel, l'annexe à Salé de la Cour d'appel de Rabat avait condamné le 19 juillet 2017 à l'aube 25 Sahraouis, accusés d'avoir tué onze membres des forces de l'ordre marocaines en 2010, à des peines de prison allant de deux ans de prison à la perpétuité.