Un académicien grec: Brahim Ghali, un tortionnaire violeur aux commandes du Polisario

Brahim Ghali a du sang sur les mains !

Brahim Ghali a du sang sur les mains ! . dr

Brahim Ghali, qui a pris les commandes du Polisario n'est qu'un tortionnaire violeur qui doit répondre de ses actes devant l'Audience Nationale qui représente la plus haute juridiction espagnole, écrit l’académicien grec, Nikaky Lygero sur son site.

Le 10/08/2016 à 11h34

Brahim Ghali, le tortionnaire de Tindouf (Sud-Ouest algérien) n’a toujours pas répondu des ses actes puisqu’il s’est enfui en Algérie, déplore l’académicien, précisant que le nouveau chef des séparatistes doit répondre devant la justice espagnole d’une plainte pour viol et abus sexuels à l’encontre de la jeune Khadijatou Mahmoud Mohamed Zoubeir, mais aussi pour torture à l’encontre d’El Kabch Mohamed Nafee, El Kharchi Lahbib et Chouiaar Mohamed Mouloud.

"Les sévices subis ont eu lieu dans le cadre d’une forme d’esclavage puisque les prisonniers dans les camps de Tindouf sont traités de cette manière pour écraser toute volonté de libération, mais aussi pour servir d’exemple et terroriser les autres habitants des camps", a-t-il dénoncé, soulignant que le Polisario en choisissant cet individu pour le mettre à sa tête, montre bien son caractère dogmatique, fanatique et anti-démocratique.

"Ceci démontre parallèlement la faible représentativité du Polisario auprès des populations séquestrées. Le choix d’une ligne dure, non pacifique et même belliqueuse, ne peut être un bon signe pour les négociations en cours. Cela prouve même qu’il n’y a pas de véritable volonté de résolution du conflit", constate Nikaky Lygero.

Et l’académicien grec de conclure en réaffirmant qu’avec les caractéristiques du tortionnaire et du violeur, Brahim Ghali ne risque pas d’influencer les courants démocratiques, "aussi il est visible que les faiblesses du Polisario sont, de plus en plus, grandes et que le manque d’effectif, l’oblige à effectuer des choix extrêmes qui sont dépourvus de sens mais cela pourrait être un indice d’une influence néfaste qui tient à ce que le problème perdure".

Le conflit du Sahara dit "occidental" est un conflit imposé au Maroc par l’Algérie qui finance et qui héberge sur son territoire à Tindouf, le mouvement séparatiste du Polisario. 

Le Polisario, soutenu par le pouvoir algérien, revendique la création d’un État factice au Maghreb. Cette situation bloque tous les efforts de la communauté internationale pour une intégration économique et sécuritaire régionale.

Le 10/08/2016 à 11h34