C’est une information rapportée hier, mercredi 11 décembre, par l’agence espagnole EFE, qui cite l’attaché de presse de cette mission onusienne. Le responsable déclare que ces mesures ont été prises «sur la base des informations reçues des autorités espagnoles et algériennes».
Pour rappel, le gouvernement espagnol a été le premier à lancer cette alerte, en déconseillant à ses ressortissants de se rendre à Tindouf ou alors de quitter les camps.
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Bien plus tard, la vice-présidente, Carmen Calvo, a affirmé qu'il y avait "une menace certaine" d’attaques terroriste et ce, sur la base d’information "très précises".