L’accusé, né en Belgique en 1995, était poursuivi pour "apologie du terrorisme" et "non dénonciation de crimes terroristes".
Le représentant du ministère public avait requis la condamnation du mis en cause pour toutes les accusations portées contre lui, alors que sa défense a requis la relaxe arguant que son client "n’est pas un extrémiste" et n’était "pas au courant" des projets terroristes de son frère, tué dans une opération menée par la police française à Saint-Denis, dans le nord de Paris.