L'ACAT se rappelle encore une fois à notre mauvais souvenir en se fendant, sur son site officiel, de billevesées saugrenues au sujet de la participation du roi Mohammed VI au Sommet mondial sur le climat "One Planet Summit", organisé hier mardi 12 décembre à Paris. "La participation du roi Mohammed VI au sommet ne doit pas faire oublier les violations du droit international commises sur ce territoire (NDLR: le Sahara) et l’exploitation illégale des ressources naturelles par le Maroc dont sont victimes les Sahraouis, parfois avec la complicité d’entreprises internationales", lâche cette ONG qui refait preuve d'une déconcertante cécité.
A moins d'être animée de mauvaise foi à l'égard du Maroc, ce qui est fort plausible au regard des "raids" haineux menés par cette officine à l'encontre du royaume, l'ACAT semble être dans l'incapacité de saisir l'enjeu de la participation du roi, accompagné symboliquement par le prince héritier Moulay El Hassan, au Sommet initié par le président français Emmanuel Macron, conjointement avec le SG de l'ONU, Antonio Guterres, au service d'une cause qui engage la planète entière et met en jeu l'avenir et le droit des générations futures.
Il n'est qu'à méditer sur l'action inlassable et personnelle du souverain pour le développement durable, au Maroc comme en Afrique, voire à l'international, pour comprendre l'enjeu de cette participation. Est-ce ainsi un hasard si le royaume de Mohammed VI possède actuellement le plus grand complexe solaire au monde, en l'occurrence NOOR d'Ouarzazate? Est-ce fortuit si, en reconnaissance de cet engagement aussi concret qu'indéniable, le royaume s'est vu attribuer les honneurs d'abriter, du 7 au 18 novembre 2016 à Marrakech, la 22e conférence des Nations unies sur les changements climatiques (COP22)?
Une chose est sûre: le Maroc est aujourd'hui un modèle continental, voire mondial, en matière d'investissement dans les énergies propres, notamment le solaire et l'éolien. Un leadership qui a d'ailleurs été souligné en présence du souverain, lors du Sommet mondial sur le climat. "Nous remercions SM le roi Mohammed VI qui a tenu par sa présence à cette séance d’ouverture à marquer son engagement pour la cause du climat par l’organisation de la COP 22, son leadership pour le développement durable du continent africain et un ambitieux programme de développement des énergies renouvelables", a en effet salué le modérateur-présentateur de la séance d’ouverture, en présence du président français, Emmanuel Macron, du secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres et du président de la Banque Mondiale, Jim Yong Kim, ainsi que des chefs d’État et des délégations participant à cet évènement mondial. "SM le roi Mohammed VI démontre combien la question du climat est universelle et concerne tous les pays du Sud et du Nord", a encore souligné le modérateur.
Et ce n'est pas tout. La présence du prince héritier Moulay El Hassan, aux côtés du roi Mohammed VI, n'a laissé personne indifférent. Une présence perçue comme étant "un symbole fort de l’implication de la jeunesse" pour la cause climatique. "Permettez-moi également de souligner combien la présence du prince héritier Moulay El Hassan est aussi un symbole fort de l’implication de la jeunesse pour défendre l’avenir de la planète", a certifié le présentateur de la séance d’ouverture.
Une action marocaine concrète et soutenue pour le climat que seule l'ACAT semble "ignorer", tellement elle est aveuglée par son inimitié anti-marocaine au point de confondre les bonnes causes qu'elle est supposée défendre avec de la politique politicienne! Sinon, que vient donc faire le dossier du Sahara dans un débat qui concerne plutôt le développement durable? A lire la phraséologie servie par cette ONG sur son site officiel, l'on est en effet frappé de constater qu'elle reprend à son compte la même phraséologie ressassée par le front Polisario et son mentor algérien!