Les présidents et représentants des parlements et assemblées nationales arabes saluent le rôle central et pionnier du roi, président du Comité Al Qods, dans la défense des droits du peuple palestinien, lit-on dans le communiqué final de la 28e session extraordinaire de l'Union interparlementaire arabe qui s'est tenue samedi 21 juillet au Caire.
Ils ont, par ailleurs, exprimé leur rejet de la décision de l'Administration américaine de reconnaître Al Qods comme capitale d'Israël et d'y transférer l'ambassade US, considérant qu'il s'agit d'une infraction du processus de paix, des conventions internationales et des résolutions relatives à cette question.
Les présidents et représentants des parlements arabes ont également rejeté l'adoption par la Knesset d'une loi sur "l'Etat-nation juif", soulignant que ce texte est antinomique avec les dispositions du droit international, de la légalité internationale et les principes universels des droits de l'Homme.
Cette loi est de nature à torpiller les efforts internationaux visant à trouver un règlement pacifique juste de la question palestinienne, selon le communiqué.
Ils ont également dénoncé la réduction des contributions financières allouées à l'Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA), qui vise à mettre fin aux services dispensés par cette institution.
Il a été également décidé d'inscrire la cause palestinienne à l'ordre du jour de l'ensemble des réunions et sessions de l'Union interparlementaire arabe.