Il n’est pas loin le temps où les coups de poing se substitueront aux échanges verbeux déjà assez virulents des «diplomates» algériens avec leurs homologues marocains, notamment sur le dossier du Sahara marocain. Le régime vert-kaki vient en tout cas d’en annoncer la couleur, via un nouveau casting d'enfer opéré dans son corps diplomatique, même si cette valse grandeur nature porte la patte de l’ex-ambassadeur représentant permanent de l’Algérie auprès de l’ONU, le dénommé Sabri Boukaddoum, devenu, depuis le 1er avril dernier, ministre des Affaires étrangères.
Aux premières lignes de cette "guérilla" diplomatique annoncée, figure l’ex-DG du ministère algérien des Affaires étrangères, le dénommé Soufiane Mimouni, qui vient de se rappeler à notre exécrable souvenir. Ce dernier a dû sa nomination en tant que successeur de l’actuel MAE algérien à la tête de l’ambassade d’Algérie à l’ONU, certainement au violent coup de poing, qu’il avait asséné, un certain jeudi 18 mai 2017, à Saint-Vincent-et-les-Grenadines, dans les îles Caraïbes, à son homologue marocain, Mohamed Ali Khamlichi (adjoint de l’ambassadeur du Maroc à Sainte-Lucie)!
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Pas besoin de revenir sur ce malencontreux incident, digne des combats de rue, Le360 en avait rapporté, en temps opportun, les détails étayés par des photos exclusives prises sur le lieu de la conférence du Comité de l’ONU sur la décolonisation, montrant le diplomate marocain affalé au sol après avoir été mis K.O par le "diplomate"-pugiliste. Pas besoin non plus de revenir sur le motif de ce haut «fait d’armes» du diplomate algérien, ou supposé l’être, son forfait étant désormais entré dans les annales des plus retentissants fiascos de l’histoire des ratages diplomatiques algériens! Le "digne" représentant de la diplomatie algérienne, qui a fait de la haine anti-marocaine la matrice de sa politique étrangère, avait peiné à voir des représentants du Sahara marocain, démocratiquement élus, se présenter et prendre la parole à la tribune du Comité des 24, pour défendre la marocanité du Sahara, mettant ainsi en brèche l’allégation mensongère du «polisario, représentant exclusif des sahraouis»!
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Arborant la mine d’une bête effarouchée, le "diplomate"-pugiliste, visiblement à court d’arguments, n’avait pas trouvé mieux à faire que d’asséner un coup de poing à son homologue marocain, sous le regard médusé des diplomates étrangers présents sur place.
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La promotion de ce "diplomate"-pugiliste confirme ainsi l’orientation (martiale) que le régime vert-kaki, actuellement mené par le Général Ahmed Gaïd Salah, veut désormais donner à la politique étrangère de son pays, laquelle annonce bien des empoignades. Et il n’est surtout pas anodin de constater que les postes stratégiques ont été confiés, via cette valse diplomatique, à des diplomates allaités au biberon de la marocophobie, à l’instar du sinistre Amar Belani, maintenu à son poste d’ambassadeur de la «rasd», pardon d’Alger, à Bruxelles(!), ou encore ce Djamal Grine, nommé à la tête de l’ambassade d’Alger à Genève, où siège le Conseil onusien des droits de l’Homme…