Nouveau développement en rapport avec la session de dialogue prévue entre les rivaux libyens, jeudi 26 février, au Maroc. Le Parlement libyen a annoncé, sur sa page Faceboook, sa décision de suspendre sa participation à cette session de dialogue parrainée par l’ONU pour tenter de trouver une solution au conflit en Libye.
Le Parlement libyen, reconnu par la communauté internationale, a précisé qu’il expliquerait ultérieurement les raisons de la suspension de sa participation, notant toutefois qu’elle intervenait «après les attentats terroristes de vendredi à Al-Quba (est) » qui ont fait plus de 40 morts et ont été revendiqués par la branche libyenne de Daach, acronyme arabe du présumé «Etat islamique».
Un nouveau round de discussions était prévu jeudi au Maroc, à l'invitation de la Mission d'appui des Nations unies en Libye (Manul), entre représentants du Parlement élu et reconnu et ceux de son rival, le Congrès général national (CGN), le Parlement sortant qui a été réactivé par la coalition islamiste Fajr Libya.