Ces agissements «sont devenus répétitifs et provocateurs», a déploré le ministre lors d’un point de presse conjoint avec son homologue ukrainien, Dmytro Kuleba, à l’issue de leurs entretiens, soulignant que le Maroc appelle à la cessation immédiate de toutes les mesures qui affectent la situation juridique et historique de la Ville sainte.
De telles violations à Al-Qods occupée et dans la mosquée Al-Aqsa, en particulier, sont unanimement rejetées au niveau international en ce sens qu’elles ne font que raviver les tensions et compromettre les efforts d’apaisement dans les territoires palestiniens occupés, outre leur impact négatif sur toutes les perspectives de paix dans la région, a-t-il soutenu.
Le ministre a affirmé, à cet égard, que le Royaume du Maroc, conformément aux hautes directives du Roi, reste convaincu que l’option de paix basée sur le dialogue et les négociations constitue l’unique voie pour parvenir à une solution définitive à la question palestinienne, à travers la solution à deux États et l’établissement d’un État palestinien sur les frontières de juillet 1967, avec Al Qods-Est comme capitale.
Nasser Bourita a formulé l’espoir de voir cesser ces provocations compte tenu de leur impact négatif et du fait qu’elles alimentent l’extrémisme et la violence dans la région.