Cette entrevue, qui s’est tenue au National Press Building, qui abrite les locaux du National Press Club
(NPC) et les bureaux de dizaines de médias américains et étrangers, dont ceux du chef-lieu du Pôle Amérique du Nord de l’Agence marocaine de presse (MAP), a été l’occasion pour l’ambassadrice du roi et Andrea Snyder Edney, présidente du National Press Club, de discuter des moyens de consolider les relations entre le National Press Club, l'une des organisations médiatiques les plus influentes dans le monde, et le royaume du Maroc.
Lalla Joumala Alaoui a, dans ce cadre, affirmé qu’elle ne ménagera aucun effort pour favoriser une dynamique de coopération ciblée et fructueuse, exprimant la disposition de l’ambassade à être un interlocuteur privilégié avec les membres du National Press Club et de son leadership, dans le but de promouvoir le royaume et de le faire connaître, notamment auprès des faiseurs d’opinion américains.
Elle a, en outre, passé en revue les réformes mises en œuvre au Maroc, sous le leadership du souverain, notamment dans les domaines institutionnels, socio-économiques et de l’autonomisation des femmes, ainsi qu’en matière de restructuration du champ religieux et ce, dans le cadre d’une approche avant-gardiste et proactive qui fait du Maroc un havre de paix et de stabilité dans son environnement régional.
La présidente du National Press Club s’est, pour sa part, dite ravie de recevoir l’ambassadrice du roi aux Etats-Unis, en faisant part de sa pleine disposition à œuvrer dans le sens de la consolidation des relations entre le NPC et le Maroc à travers notamment des stages de formation, l’organisation de conférences sur le Maroc et l’échange de visites.
Cette entrevue s’est déroulée en présence notamment de l’ancien président du NPC, Thomas Burr et de son directeur exécutif, William McCarren.
Lalla Joumala Alaoui a, par la suite, visité les locaux de la MAP au National Press Building, où des explications lui ont été fournies sur le travail que déploient les journalistes dans le cadre de la couverture des relations maroco-américaines, des institutions internationales basées aux Etats-Unis, dont le FMI, la Banque mondiale et les Nations-unies, outre les questions intéressant la communauté marocaine établie en Amérique.
Il a également été question du riche agenda de l’ambassade du royaume dans les différents domaines d’activité, notamment ceux liés aux secteurs économiques, financiers et culturels, ainsi que les questions qui intéressent la communauté marocaine établie aux Etats-Unis, avec un intérêt particulier pour les enfants de la diaspora et leurs aspirations.