Certains journalistes sont tombés dans le piège que leur ont tendu des parties hostiles au Maroc, en versant dans les surenchères d’une soi-disant lutte pour les droits et les libertés qui relève plutôt de la haute trahison, rapporte Assabah dans son édition du jeudi 23 juillet. Et le quotidien de souligner que l’exploitation de l’espace des droits et des libertés en a fait le théâtre d'une guerre menée contre le Maroc. En effet, certains droits-de-l’hommistes tentent d’imposer une normalisation médiatique avec des agents d’espionnage, sous prétexte qu’ils appartiennent à la corporation des journalistes.
Or, tout le monde sait que leur attitude s’inscrit dans un plan visant à ternir l’image du Maroc et à saborder son ouverture politique et ses avancées dans le domaine des libertés. En effet, le royaume dispose de ses propres mécanismes et institutions des droits de l’Homme, reconnus pour leur crédibilité à l’échelle mondiale. D’ailleurs, le Maroc est le seul pays de la région à coopérer avec les organismes onusiens des droits de l’Homme. Il n’a, en outre, jamais cessé de clamer sa disposition à s’ouvrir à toutes les instances et organisations mondiales des droits de l’Homme faisant preuve de neutralité et d’objectivité dans le traitement des dossiers concernant le Maroc.
Cette minorité égarée a, au nom d’une conscience professionnelle pervertie, attaqué la presse nationale pour s’être opposée à toutes les voix hostiles au Maroc. Le comble est que cette catégorie de journalistes veut le beurre et l’argent du beurre et demande la subvention de l’Etat tout en la conditionnant à une neutralité passive concernant les dossiers relatifs aux intérêts supérieurs de la nation. Chantage à la rente!
Le quotidien Assabah révèle que des pratiques dangereuses, constatées ces derniers temps, mettent en danger la sécurité extérieure du royaume. En effet, des études universitaires et des articles de presse ont été élaborés pour être vendus à des parties étrangères qui comptent les utiliser contre le Maroc dans les coulisses des forums internationaux. Autant dire que quelques dollars de plus font couler beaucoup d’encre et de salive chez ceux qui prétendent avoir l’honneur de défendre les droits de l’Homme en servant des organisations impliquées dans des guerres d’espionnage. Ce n’est donc pas par hasard que l'on retrouve les contributions de ces journalistes militants dans les rapports des ennemis de l’intégrité territoriale du Royaume.