Délégation de pouvoir: aucun problème ne se pose pour Saaïd Amzazi et Driss Ouaouicha (Document)

Le ministre de l'Éducation nationale, de la formation professionnelle, de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, porte-parole du gouvernement, Saaïd Amzazi.

Le ministre de l'Éducation nationale, de la formation professionnelle, de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, porte-parole du gouvernement, Saaïd Amzazi. . DR

Des problèmes se posent au niveau de plusieurs départements ministériels pour absence de décrets précisant les prérogatives des ministres délégués. Au département de l’Education nationale et de l’enseignement supérieur, les choses ont été tranchées dès début décembre 2019.

Le 25/02/2020 à 11h41

Dans un de nos articles (une revue de presse) consacré aux problèmes qui se posent au niveau de plusieurs ministères, nous évoquions les difficultés pour certains ministres délégués qui ne peuvent s’acquitter pleinement de leurs missions. La raison? L’absence de décrets définissant les prérogatives de cette catégories de ministres qui, de ce fait, se trouvent réduit à une sorte de «chômage technique».

Sauf qu’il y a aussi des ministres qui, juste après le remaniement du 9 octobre, ont entrepris de régler cette procédure. C’est le cas, entre autres, du ministre de l’Education nationale et de l’Enseignement supérieur, Saaïd Amzazi. En date du 29 novembre 2019, il avait signé un décret portant délégation de pouvoir au ministre délégué chargé de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique Driss Ouaouicha.

Publié au Bulletin officiel du 2 décembre 2019, ce décret donne pleins pouvoirs au ministre délégué pour gérer les établissements publics relevant de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique. Ces pouvoirs s’étendent aussi bien aux responsables qu’aux ressources humaines de ces départements.

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Par Rahim Sefrioui
Le 25/02/2020 à 11h41