Décidément, l'inénarrable Abdelkader Messahel, ministre algérien des Affaires étrangères, a pété un câble. Présent à Addis-Abeba pour représenter son pays aux travaux préparatoires du 30e sommet de l'Union africaine, du 28 au 29 janvier, il n'a vu que du feu! Paraît-il, il n'a qu'une "vision" et une seule: attaquer un voisin dont le seul "délit" est d'avoir fait le choix de l'effort et du progrès! C'est en tout cas ce qui ressort de la nouvelle sortie de l'incorrigible Messahel, ce vendredi 26 janvier sur les ondes de RFI.
A une question sur une "coupure" du dialogue entre l'Algérie et le Maroc dans la lutte contre le trafic de drogue, le génialissime diplomate algérien a klaxonné: "On sait qui fait quoi et on sait qui est derrière quoi".
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Pas besoin de deviner, Madame! "Ça, tout le monde le sait"!, a-t-il détalé, en pointant sans le nommer le Maroc, qu'il avait accusé en octobre 2017 de "blanchir l'argent du haschich via ses banques en Afrique"!
L'impénitent Messahel n'en est donc pas à son premier forfait. A se demander s'il n'est pas sous l'effet de comprimés hallucinogènes, dont son pays (et "ça, tout le monde le sait") est le principal producteur et fournisseur en Afrique.
Question pour l'imbattable Messahel: qui des drogues, la "zetla" ou le "qarqoubi", est-il le plus dangereux? Une chose reste sûre: dans le pire, l'Algérie est la meilleure!
Au secours, ils sont devenus fous!
Voici un extrait de l'interview de RFI: