Quand les Sénégalaises deviennent accro au blanchiment de la peau
Pratiquée à l’origine par les «driankés» ou les prostituées, la dépigmentation de la peau («khessal» en wolof) a pris une ampleur inquiétante au Sénégal. On estime que deux Sénégalaises sur trois ont recours à cette pratique. Et évidemment, c’est la santé qui est menacée.