Aucun allègement n'a été constaté dans le dispositif de sécurité déployé autour et à l'intérieur d'Alger, contrairement à la promesse faite par le président intérimaire Abdelkader Bensalah, à la veille du 23è vendredi des manifestations anti-régime qui se poursuivent depuis le 22 février 2019.
La photo prise ce vendredi sur l'un des boulevards algérois, contredit de manière flagrante la fausse-vraie promesse de Bensalah. Cette contradiction vient ainsi conforter le peuple algérien dans sa conviction que le pouvoir est plutôt entre les mains du Général Ahmed Gaïd Salah, qui n'a cessé de multiplier les subterfuges pour tenter de siphonner la révolution populaire qui se déroule depuis maintenant cinq mois.
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"Y en a marre des Généraux!", décriaient à pleins poumons les millions d'Algériens sortis pour le 23è vendredi consécutif, demander le départ de la mafia vert-kaki, à sa tête le chef d'état-major de l'Armée nationale populaire (ANP), Ahmed Gaïd Salah.
La promesse d'"allègement" ainsi violée devrait édifier sur cette autre grossière supercherie nommée "dialogue national", que la mafia tente misérablement de faire passer auprès d'Algériens devenus incrédules du fait des manoeuvres insidieuses orchestrées par un régime viscéralement retors, pour se cramponner au pouvoir.
