Algérie: un racisme anti-subsaharien se banalise avec la complicité de l'Etat

Le360 : Adil Gadrouz

Depuis un an les actes de racisme se multiplient en Algérie à l'encontre les migrants. A Ouargla, 18 migrants ont été brûlés vifs dans un camp de concentration, puis sont survenus les événements de Béchar et de Tamanrasset, de Dély Brahim. La réponse l'Etat est toujours la même : l'expulsion.

Le 07/12/2016 à 13h10