Les responsables américains qui suivent de près les discussions autour de la question du Sahara marocain ont affirmé que les États-Unis "ont clairement fait savoir que Washington ne soutiendrait pas un plan visant à créer un nouvel État en Afrique", souligne le site australien.
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D'ailleurs, c'est ce soutien américain qui a encouragé le Maroc à revenir à la table des discussions et à relancer la dynamique des tables rondes engagée sous l'égide de l'ONU en présence du Maroc, de l'Algérie, de la Mauritanie et du Polisario.
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Cette dynamique, estime le site d’informations, a créé les conditions pour faire avancer le dossier, mais cette avancée pâtit aujourd'hui de la situation en Algérie et de la démission de l'Envoyé personnel du Secrétaire général de l'ONU, Horst Köhler.
Par ailleurs, le journal revient sur les efforts importants consentis par le Maroc pour favoriser le développement de la région du Sahara à la faveur d'investissements considérables dans différents domaines, alors que le Polisario, un "groupe marxiste lié au terrorisme régional", "continue de poser une sérieuse menace à la stabilité en Afrique du nord et dans le Sahel".
Dans un témoignage vidéo accompagnant son article, le journal retrace la genèse de ce mouvement séparatiste d'obédience marxiste ainsi que sur les menaces que pose le non règlement de la question du Sahara pour la paix et la stabilité.
La situation sécuritaire dans la région rend le conflit une urgence à régler, estime à cet égard "Vibe Media", citant le quotidien américain.