L’ancien président de la FMEJ justifie sa décision par «un profond désaccord sur les orientations de la direction de la fédération, lesquelles sont devenues, dit-il, «incompatible» avec les principes et les valeurs professionnels et éthiques auxquels il croit.
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«La crise économique que vit le secteur de la presse ne doit pas être une excuse», souligne Miftah, ajoutant que le combat de la presse ne peut être réduit à la simple recherche de ressources financières publiques, de quelque manière que ce soit et à tout prix.
Noureddine Miftah qui, en décembre 2018, a cédé sa place à la tête de la FMEJ à Bahia Amrani, directrice de publication de l’hebdomadaire francophone «Le Reporter», estime que la lutte contre la corruption et l’opportunisme dans le domaine du journalisme «est une chance parmi d’autres pour sortir de la situation moribonde que connaît le secteur de la presse».









