Ce prêt vise à permettre à ce secteur de se transformer plus rapidement, afin de générer davantage de valeur ajoutée et de mieux intégrer les petits producteurs et les PME. Le programme de la Banque mondiale entend ainsi remédier à la fragmentation de la production et mettre en place des filières mieux intégrées.
Dans un communiqué diffusé à cette occasion, la Banque mondiale explique que le programme, conçu pour fournir un appui général, s’attachera à créer un environnement propice à la croissance du secteur agroalimentaire, ainsi qu’à lever les obstacles au développement de filières spécifiques.
Afin de remédier à un certain nombre de problèmes structurels comme la sécurité sanitaire des aliments, la qualité des produits ou le manque d’intégration des marchés, il soutiendra des réformes institutionnelles et une hausse des investissements qui permettront d’accroître la valeur ajoutée, d’améliorer l’efficacité des marchés et de renforcer la compétitivité.