Plus de 85% des bureaux professionnels sont hors norme. Dans son édition du jour, L’Économiste affirme que cela se traduit par une vacance principalement située dans les centres-villes historiques des villes. Ces zones sont en effet peu équipées d’immeubles de qualité. De quoi laisser entrevoir un potentiel de croissance énorme. Une fois rénovés et réhabilités, ces biens peuvent être rentables. Leur transformation est une solution viable pour résoudre le problème de vacance et, par la même occasion, permettre d’inverser la tendance baissière actuelle que connaissent les loyers dans les centres-villes historiques.
Dans l'avenir, nous devrions assister au changement de vocation des quartiers centraux, puisque seuls les immeubles répondant aux normes pourront bénéficier de projets de rénovation.Le marché de l’immobilier tertiaire montre, selon le journal, des signes de maturité à travers une meilleure structuration des projets. Cela a été permis par le renforcement de la présence des acteurs institutionnels historiquement liés au marché. Le lancement des OPCI va permettre l’émergence de nouveaux acteurs spécialisés dans les biens immeubles à rendement.Pour ce qui est des rendement, le quotidien assure que l’immobilier tertiaire reste attractif pour les investisseurs.