Alors que la polémique enfle entre les opérateurs de transports en VTC (véhicules de transport avec chauffeur) comme Uber et Careem d’un côté, et les taxis de l'autre, le wali de Casablanca, Khalid Safir, veut mettre de l’ordre dans ce secteur où l’anarchie semble devenir une règle.
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Auprès de la wilaya de Casablanca, le360 apprend que des responsables, dont le wali, ont récemment tenu cinq réunions, au moins, avec des représentations syndicales des taxis.
La dernière s’est tenue à la fin de la semaine dernière. Si elle n’a pas abouti à un accord, des avancées notoires ont tout de même été enregistrées, notamment sur les points liés à la réglementation de la profession et concernant le cahier des charges à respecter.
Il y est question, entre autres, du respect des droits du client tels que son choix de destination, le trajet à emprunter ou la possibilité de prendre un autre passager en cours de route.
D’autres points de discussion concernent le comportement du conducteur voire sa tenue vestimentaire.
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D'autres réunions devraient suivre afin d’arrêter une décision concertée à laquelle l'ensemble de la profession se pliera. En attendant, beaucoup de remous en perspective!
