Le projet avait déjà fait parler de lui, en mal, des acquéreurs s’étant plaint auprès du souverain quant à nombre de dysfonctionnements qui ont marqué son exécution. Et c’est ainsi que le projet immobilier Badis à Al Hoceima a de nouveau fait la Une des journaux. Cette fois, au sujet de résidences qui ne sont pas raccordées au réseau d’assainissement.
Dans un communiqué, la CDG (Caisse de dépôt et de gestion), en charge du projet, apporte ses précisions. Pour le groupe, l’affaire est un cas isolé. Il ne s’agit donc pas d’un nombre important de villas, mais d’un appartement seulement.
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«L’acquéreur d’un appartement de la tranche 1 de Badis a fait une réclamation concernant un dysfonctionnement dans son réseau d’assainissement. La résidence où se situe ledit appartement a été livrée en 2013, et toutes les réclamations des acquéreurs dans le cadre du Service Après-Vente (SAV) avaient été prises en charge par la CGI depuis quelques années déjà. L’appartement en question était inoccupé et son propriétaire en a pris possession récemment», lit-on dans le communiqué.
La CGI, filiale de la CDG, a, de plus, «rapidement pris les mesures nécessaires pour remédier au problème signalé sans aucune prise en charge par l’acquéreur», précise le groupe.