Fouad Laroui était l'invité de la librairie LivreMoi, hier jeudi 25 avril, à Casablanca. L'écrivain marocain y a parlé de trois de ses ouvrages récents: "L'insoumise de la porte de Flandres" paru chez Julliard en 2017, "Dieu, les mathématiques, la folie", édité chez Robert Laffont, et enfin le tout dernier "Lumières marocaines" publié par Langages du Sud.
Ce beau-livre, dévoilant le travail de 60 artistes peintres marocains, est l'occasion de découvrir une nouvelle facette de Fouad Laroui.
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Cet ingénieur de formation, professeur universitaire à Amsterdam, est aussi un grand passionné de peinture et d'oeuvres d'art.
"J'adore les musées, j'ai pour habitude de les fréquenter depuis mon plus jeune âge".
Sa première rencontre avec la peinture marocaine l'a été à travers une toile de l'artiste peintre Fouad Bellamine, exposée à l'Institut du monde arabe. Pour Fouad Laroui, les mathématiques et la religion ne sont pas les seules voies d'accès à la connaissance, l'art l'est aussi. Pour cette raison, l'écrivain regrette qu'au Maroc, l'histoire de l'art ne soit pas enseignée dans les écoles.
Dans cette interview avec Le360, Fouad Laroui explique pourquoi il s'est lancé dans cette nouvelle expérience d'écriture.