Tanjazz, de retour cette année, en septembre

Un des concerts de Tanjazz en 2018

Un des concerts de Tanjazz en 2018 . DR

La ville de Tanger s'apprête à vibrer au rythme de son célèbre festival de jazz, Tanjazz, qui existe depuis 21 ans déjà. Il aura lieu du 22 au 24 septembre 2022.

Le 26/07/2022 à 17h32

Le célèbre festival de jazz de Tanger aura lieu du 22 au 24 septembre 2022. Et il en est déjà sa 21e édition qui annonce plusieurs changements. Tanjazz sera désormais organisé par l’équipe de Jazzablanca, à savoir l’agence de production Seven PM dirigée par Moulay Ahmed Alami. Une changement amorcé en 2019, lors de la 20e édition, qui avait eu lieu en 2019, quand le fondateur, Philippe Lorin, avait passé le flambeau au producteur de Jazzablanca.

C’est donc un Tanjazz rajeuni, mais toujours fidèle à ses acquis qui s’annonce. L’ambition est d’offrir une expérience festivalière attachée et loyale à l’ADN de cet évènement, qui a jeté les fondations d’une véritable culture jazz au Maroc.

Cette culture se développe depuis deux décennies dans un promesse d’ouverture et de découverte que la nouvelle équipe d’organisation entend prolonger, tout en l’ouvrant à de nouveaux publics.

Les nombreux aficionados de Tanjazz seront heureux de retrouver l’emblématique Palais des Institutions Italiennes, cœur battant du festival, avec ses diverses scènes, ses jardins et ses espaces de restauration.

Le nouveau format de Tanjazz offrira ainsi trois jours de fête avec plus de 20 concerts au sein du Palais (accès payant), mais aussi des concerts et de multiples animations gratuits, que le public découvrira à travers différents circuits dans la ville.

Swing, blues, rock, soul, world music et electro jazz, la programmation de cette année sera particulièrement attractive. Le line-up illustrera les ambitions et l’engagement du festival à offrir au public -Tangérois fidèles, festivaliers venus de Casablanca, de Rabat et de l’ensemble du Maroc, mais aussi nombreux étrangers habitués de Tanjazz- une magnifique reprise après deux années de privation due à la pandémie de Covid-19.

Par Nisrine Zaoui
Le 26/07/2022 à 17h32