Présidée par Amine Nasseur, la commission d’aide à la production cinématographique a étudié plusieurs projets lors de cette deuxième session annuelle, notamment 42 longs métrages, 4 courts métrages pour l’avance post-production, ainsi que 12 dossiers liés à l’écriture de scénarios.
Parmi les décisions phares, une avance sur recettes avant production de 4 millions de dirhams a été accordée au film Histoire d’amour en 10 chansons, 3 mariages et 1 baiser, porté par Mont Fleuri Production et réalisé par Faouzi Bensaïdi, également auteur du scénario.
D’autres projets de longs métrages ont également été retenus, parmi lesquels: Holy Cow d’Asmae El Moudir (Insight Films pour 3,5 MDH), Aïssa de Said Azar (Media Collect pour 3 MDH), La Grinta d’Ilhame El Alami (Atlantis Films pour 3 MDH), Keltoum de Youness Reggab (Ozz Films pour 3 MDH), La Cabine d’Alaa Akaaboune (Epicwave Production pour 2,56 MDH).
Du côté des courts métrages, Livre du jour de Walid Lamharzi Alaoui reçoit 160.000 dirhams, tandis que Retour amer de Fouad El Moussaoui et Aslal de Mohamed Hmimsa obtiennent chacun 150.000 dirhams.
L’écriture de scénario également mise à l’honneur
La commission soutient aussi la phase d’écriture, en attribuant 100.000 dirhams à plusieurs projets de scénario de longs métrages, dont Le Retour de Jihane El Bahhar, Weld El Aatar de Fouad El Moussaoui, Laaita Alih de Jamila Annab et le documentaire Fanek Fine? / Where art you? de Amal El Atrache.
En parallèle, les dotations de 50.000 à 60.000 dirhams ont été octroyées pour la réécriture de scénarios, parmi lesquels Saison de prunes de Rim Mejdi, Rhazès de Moulay Taieb Bouhanana ou encore Campania d’Aiman Benslimane.
Focus sur les documentaires sahraouis
Enfin, plusieurs projets de documentaires centrés sur la culture et l’espace sahraoui hassani ont été sélectionnés pour des aides allant de 650.000 à 750.000 dirhams. Parmi eux: Parfum de sable d’Abderrahman Alami, Arataa de Mohamed Ahmed Bjija, L’autre babouche de Meryem Jabbour, Arzim Al Hirane de Said Gougaz, Al Maddah de Hicham Chahen, Tandamrite d’Abdelilah Moujanni, La terre de l’ombre de Laila Ataalah.







