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Avant d’affronter les Lions de l’Atlas, les Chipolopolo de la Zambie font face aux Comores, vendredi à Casablanca. Patson Daka, auteur du premier but zambien dans cette CAN 2025 veut se focaliser d’abord sur les Cœlacanthes.

Le Mali et la Zambie n’ont pas réussi à se départager lundi à Casablanca (1-1), au terme d’un match accroché du groupe A. Un résultat qui sourit aux Lions de l’Atlas, vainqueurs des Comores la veille (2-0), et qui leur permet de prendre seuls les commandes de la poule dès cette première journée.

De retour à la CAN après un parcours de qualification exemplaire, les Comores abordent l’édition 2025 avec un collectif solide et des ambitions mesurées. Outsiders du groupe du Maroc, du Mali et de la Zambie, les Cœlacanthes espèrent confirmer leur progression sur la scène africaine.

Portée par une histoire marquée par la tragédie et la résilience, la Zambie aborde la CAN 2025 avec humilité et détermination. Sacrés champions d’Afrique en 2012, les Chipolopolo retrouvent la scène continentale animés par l’envie de confirmer leur retour au premier plan et de s’inscrire, à nouveau, parmi les équipes capables de bousculer la hiérarchie.

Moses Sichone, sélectionneur des Chipolopolos, a levé le voile sur le groupe qu’il emmènera au Maroc pour la CAN 2025.

Dans leur commerce international d’intrants agricoles, l’Afrique du Sud, le Maroc et huit autres pays africains sont de plus en plus exposés à la volatilité des marchés financiers, eux-mêmes porteurs de risques systémiques. Dans son rapport, la Conférence des Nations unies pour le Commerce et le Développement recommande aux banques centrales et aux institutions communautaires de se doter d’outils pour cartographier les expositions aux grands traders et à leurs réseaux complexes.

L’excellence hôtelière n’est plus un produit d’importation en Afrique, mais une synergie entre identité locale et standards mondiaux. C’est ce que révèle la sélection africaine des Clefs Michelin 2025 qui met le Maroc sur la plus haute marche du podium continental.

Le FMI dresse un constat sans appel: la fragmentation de l’Afrique face à la dette souveraine oppose pays résilients ancrés en monnaie locale et États captifs des devises étrangères, avec des conséquences majeures sur leur stabilité et leur croissance. A côté de ces pays, figurent l’Algérie et l’Ouganda exposés à un risque géopolitique sous-estimé.

Selon la Banque mondiale, des interventions ciblées et des réformes courageuses dans des secteurs clés peuvent générer des impacts rapides et concrets sur l’emploi et les moyens de subsistance. Pour ce faire, l’institution financière braque ses projecteurs sur la Zambie, le Maroc, Madagascar, la Côte d’Ivoire et la Guinée-Bissau. Les Détails.