La liste des députés accusés de corruption, de chantage, de dilapidation de deniers publics, de falsification, d’enrichissement illicite, de fraude dans les marchés publics et de détournements, s’est encore allongée. Le nombre de ces élus, issus des partis de l’opposition et de ceux composant la coalition au gouvernement, est passé de 30 à 34. Une revue de presse d’Assabah.