Ce que Karim Mosta a fait mérite plus qu’une médaille. Cet homme a atteint la sainteté. À son âge, on devrait lui construire une maison simple, entourée d’oliviers, et on viendrait lui rendre visite sans rien lui demander. Une maison en haut d’une colline, loin des tracas de la ville, de la pollution et du bruit.