Le système de facturation électronique à venir, qui ne devrait pas être opérationnel avant 2026, ne sera qu’optionnel. Son déploiement, progressif, devra se limiter dans un premier temps aux «grands comptes», terme employé par la Direction générale des impôts (DGI) pour les entreprises générant un chiffre d’affaires annuel d’en moyenne plus de 50 millions de dirhams. Une revue de presse de L’Économiste.